Partie contre HWK
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Partie contre HWK
J’ai eu la chance de rencontrer HWK en son fief, aux portes des montagnes, en Ariège. Une belle partie, qui date un peu maintenant (début novembre), qui fut des plus plaisantes. Le grand HWK (rien à voir avec les nains montagnards et trapus de JRRT), un personnage fort agréable, volubile et sonore, et drôle aussi, me reçut donc dans une salle de jeu équipée d’un frigo (j’avais d’ailleurs oublié de prendre de la monnaie et me suis fait rincer toute la soirée, rrrrhoooo), de nombreuses maquettes de paysage et d’une grande table à tréteaux. Nous alignâmes donc nos armadas :
Pour lui :
Deux VSD, un raider et, çà fait trop longtemps, je crois deux gozantis et quelques agressifs TIE comme l’Empire en a produit aux plus sombres heures de son apogée.
@HWK : Merci de préciser à l’occasion
Pour moi : 397 points de rebelles survitaminés
Vaisseaux (263)
MC30c (101) - Frégate lance-torpille (63) - General Rieekan (30) - Second expérimenté (1) - Experts en artillerie (4) - Racks externes (3)
Nébulon B (68) - Frégate d'escorte (57) - Yavaris (5) - Commandant d'escadrille (3) - Équipe de coordination de chasseurs (3)
GR-75 (28) - Transports moyens (18) - Adar Tallon (10)
GR-75 (20) - Transports moyens (18) - Réseau de communication (2)
GR-75 (28) - Transports moyens (18) - Bright hope (2) - Centre de commandement de bombardement (8.)
GR-75 (18) - Transports moyens (18)
Escadrons et filous (134)
1 Luke Skywalker (20)
1 Escadron or (12)
1 Dutch Vander (16)
1 Escadron dague (15)
1 Ten Numb (19)
1 Corran Horn (22)
2 Cargo VCX-100 (30)
Objectifs
Ennemi public
Kidnapper le VIP
Territoire dangereux
Le résumé de la partie sera difficile à faire, des comètes ayant eu le temps d’effectuer plusieurs révolutions depuis cette partie (HWK, si ta mémoire est meilleure, n’hésite pas).
Un fait marquant : ma MC30 amirale se faufila entre les 2 VSD et HWK fut victime (comme de nombreux amiraux avant lui) des dés rouges… De beaucoup trop nombreuses faces vierges…
En tous cas, ami HWK, lorsque mes pas m’amèneront à nouveau du côté de l’Ariège, je serai heureux de te ré-affronter (et j’apporterai ma monnaie !).
Pour lui :
Deux VSD, un raider et, çà fait trop longtemps, je crois deux gozantis et quelques agressifs TIE comme l’Empire en a produit aux plus sombres heures de son apogée.
@HWK : Merci de préciser à l’occasion
Pour moi : 397 points de rebelles survitaminés
Vaisseaux (263)
MC30c (101) - Frégate lance-torpille (63) - General Rieekan (30) - Second expérimenté (1) - Experts en artillerie (4) - Racks externes (3)
Nébulon B (68) - Frégate d'escorte (57) - Yavaris (5) - Commandant d'escadrille (3) - Équipe de coordination de chasseurs (3)
GR-75 (28) - Transports moyens (18) - Adar Tallon (10)
GR-75 (20) - Transports moyens (18) - Réseau de communication (2)
GR-75 (28) - Transports moyens (18) - Bright hope (2) - Centre de commandement de bombardement (8.)
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Escadrons et filous (134)
1 Luke Skywalker (20)
1 Escadron or (12)
1 Dutch Vander (16)
1 Escadron dague (15)
1 Ten Numb (19)
1 Corran Horn (22)
2 Cargo VCX-100 (30)
Objectifs
Ennemi public
Kidnapper le VIP
Territoire dangereux
Le résumé de la partie sera difficile à faire, des comètes ayant eu le temps d’effectuer plusieurs révolutions depuis cette partie (HWK, si ta mémoire est meilleure, n’hésite pas).
Un fait marquant : ma MC30 amirale se faufila entre les 2 VSD et HWK fut victime (comme de nombreux amiraux avant lui) des dés rouges… De beaucoup trop nombreuses faces vierges…
En tous cas, ami HWK, lorsque mes pas m’amèneront à nouveau du côté de l’Ariège, je serai heureux de te ré-affronter (et j’apporterai ma monnaie !).
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Minéralarimal- Admin
- Messages : 2199
Date d'inscription : 23/07/2016
Age : 52
Localisation : Paris 13
Re: Partie contre HWK
Le Parisien (condoléances) se rappelle parfois qu’il existe d’autres horizons que le sien et c’est pour se dépayser corps et âme qu’il consent parfois à s’offrir des séjours champêtres dans les lointaines colonies de la capitale.
Quoi de mieux en effet pour ces citadins monotones qu’un moment rustique dans un pays sauvage, créé depuis le compté de Foix en l’an de grâce 1790, patrie des Ours jusqu’à leur extinction au XXème siècle, il a depuis profité de multiples ré-introductions de plantigrades Slovènes et sa seconde égérie : le cheval de Mérens, a su éviter lui la disparition non sans atavisme du fait de croisements endogamiques.
Rien de tel n’est-il pas que l’exotisme de ces histoires typiques de vallées reculées où les années 50 voyaient encore les colporteurs se faire violer par les femmes de villages (isolés de par la neige 6 mois l’an) pour renouveler le sang.
Je pense qu’il est important avant toute chose de correctement replacer le contexte. En effet, il est nécessaire de comprendre dans quel état d’esprit l’homme de la capitale se rend en des contrées qu’il croit siennes afin d’y côtoyer du haut de sa verve à l’accent pointu le paysan qui, du moins le croit-il, a pédalé toute la journée pour fournir l’électricité nécessaire à leur entrevue d’un soir d’automne.
D’ailleurs, le lecteur avisé aura bien relevé avec qu’elle condescendance le visiteur citadin se souvient de la présence oh combien surprenante d’un appareil permettant de réfrigérer une enceinte fermée et calorifugée afin d’y conserver plus généralement des mets et en l’occurrence des bières… mais omet cependant de se souvenir de l’essentiel qui constitua son déplacement. Preuve s’il en est de toute l’arrogante complaisance qui suinte de ces gens surpris qu’ils sont d’avoir été reçus ailleurs que dans une grotte aux parois humides et à l’âtre embaumant de ses fumées une atmosphère rendue âcre et qu’il peine à illuminer de sa seule présence.
Le citadin ne manque pas cependant de préciser la qualité de l’installation, comme s’il tentai de se reprendre tout en frisant le mépris et en n’allant pas jusqu’au bout de sa démarche nous laissant surpris qu’il n’ai pas relevé le degré de technicité des tréteaux mis en place pour soutenir le poids de la porte usée servant de zone de jeux.
Un zone d’ombre laissée là innocemment et à n’en pas douter pour souligner d’avantage le dédain qu’il éprouve (malgré les efforts déployés) à l’encontre de ses semblables moins bien nés que lui.
Mais l’audace de notre citoyen de Paname n’a aucune limite alors qu’il s’essaye aux regrets tandis qu’il rappelle presque candidement qu’il oublia son porte feuille. Il ne s’agit-là que d’une faible tentative de passer pour le simple avare de la fable. Le lecteur attentif aura aisément reconnu que ce n’est pas la cupidité qui cerne notre ingénu compagnon mais bien la simple certitude toute urbaine que la monnaie ne s’est pas répandue au sud du péage de Saint-Arnoult et que seul le troc règne par delà les lumières de la capitale.
Avec le recul je n’ose imaginer ce qu’il prévoyait en contre-partie de ses bières… mais la vitesse à laquelle il les but pourrai facilement éclairer tout un chacun sur la question.
Ainsi donc, je fis face à toute la suffisance de mon invité de qualité capable qu’il l’a démontré ce soir-là de bêtement pomper des listes testées par d’autres sur l’Internet mondial.
Le détail de la partie ne satisfera malheureusement pas la curiosité des amateurs de jeu construit car les moments les plus mémorables ne se passèrent non pas dessus mais autour de la-dite table.
J’en veux pour exemple de délicieux instant juste avant que ne débute ce véritable viol en réunion (mon aimable opposant et ses figurines constituant non moins qu’une bande à part entière) où, les yeux pleins de larmes d’anticipation du plaisir qu’il s’apprêtait à prendre, l’infâme personnage se fendit d’une moue qui à elle seule servirait le scénario d’un épisode complet de Lie To Me. Je l’entendis donc prononcer ces quelques mots qui, en d’autres temps auraient suffit à déclencher des guerres : "Nan mais franchment là si tu veux je la chang’ ma list."
Le malandrin, en bon bourgeois, en avait déjà la bouche pleine…
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : d’un malheureux homme des cavernes descendant une fois l’an de sa montagne pour accueillir le citoyen de la ville venu lui s’amuser de la présence d’autrui en des lieux exotiques de l’Empire Colonial Parisien.
Tout le reste ne serait que philosophie. Des détails futiles tels que les listes ou les résultats de dés ne serviraient pas le véritable propos du récit.
Dire que la liste fut pensée pour le fun ou pour changer des überKompoSdelaMorre serait accorder trop d’importance à une partie qui n’a de défaite que le nom. Ni le résultat abominablement surprenant des dés au moment le plus crucial. Ou bien encore le simple fait que la partie adverse s’employa à dresser des écrans de fumée se faisant prêter certaines figurines puis en fait non… Non, la véritable remarque à formuler tient en quelques mots simples : comment l’habile citadin n’a-t-il pas été en mesure de faire mieux que d’entraîner l’abandon de son adversaire à la fin du quatrième tour ?
Avait-il peur des prédateurs sauvages hantant ces contrées reculées et dont des souvenirs scolaires rappellent qu’elles s’activent à l’aube et au crépuscule… l’obligeant de fait à faire durer l’affrontement hobbyesque un minimum de temps mais cependant pas trop non plus ?
Quid du temps qu’il mit à répondre publiquement (avouant par là même son forfait) pour écrire avec peine et effort de maigres lignes sur le sujet sans rien en dire ?
Je ne sais quoi penser de tout cela mais je vous le dis, c’est bien grâce à Armada que nous ferons reculer l’obscurantisme urbain et que, comme de juste, c’est bien un représentant de la bordure extérieure qui enlèvera au nez et à la barbe de ces foutus habitants du Noyau le trophée convoité… et que nous autres passerons notre temps à leur faire croire que nous ne savons pas jouer afin que Mr G. remette les choses dans l’ordre.
Pleins de bisous à tous ainsi qu’à mon second Parisien préféré (qui je l'espère aura transmis ma petite attention à mon premier Parisien préféré).
Quoi de mieux en effet pour ces citadins monotones qu’un moment rustique dans un pays sauvage, créé depuis le compté de Foix en l’an de grâce 1790, patrie des Ours jusqu’à leur extinction au XXème siècle, il a depuis profité de multiples ré-introductions de plantigrades Slovènes et sa seconde égérie : le cheval de Mérens, a su éviter lui la disparition non sans atavisme du fait de croisements endogamiques.
Rien de tel n’est-il pas que l’exotisme de ces histoires typiques de vallées reculées où les années 50 voyaient encore les colporteurs se faire violer par les femmes de villages (isolés de par la neige 6 mois l’an) pour renouveler le sang.
Je pense qu’il est important avant toute chose de correctement replacer le contexte. En effet, il est nécessaire de comprendre dans quel état d’esprit l’homme de la capitale se rend en des contrées qu’il croit siennes afin d’y côtoyer du haut de sa verve à l’accent pointu le paysan qui, du moins le croit-il, a pédalé toute la journée pour fournir l’électricité nécessaire à leur entrevue d’un soir d’automne.
D’ailleurs, le lecteur avisé aura bien relevé avec qu’elle condescendance le visiteur citadin se souvient de la présence oh combien surprenante d’un appareil permettant de réfrigérer une enceinte fermée et calorifugée afin d’y conserver plus généralement des mets et en l’occurrence des bières… mais omet cependant de se souvenir de l’essentiel qui constitua son déplacement. Preuve s’il en est de toute l’arrogante complaisance qui suinte de ces gens surpris qu’ils sont d’avoir été reçus ailleurs que dans une grotte aux parois humides et à l’âtre embaumant de ses fumées une atmosphère rendue âcre et qu’il peine à illuminer de sa seule présence.
Le citadin ne manque pas cependant de préciser la qualité de l’installation, comme s’il tentai de se reprendre tout en frisant le mépris et en n’allant pas jusqu’au bout de sa démarche nous laissant surpris qu’il n’ai pas relevé le degré de technicité des tréteaux mis en place pour soutenir le poids de la porte usée servant de zone de jeux.
Un zone d’ombre laissée là innocemment et à n’en pas douter pour souligner d’avantage le dédain qu’il éprouve (malgré les efforts déployés) à l’encontre de ses semblables moins bien nés que lui.
Mais l’audace de notre citoyen de Paname n’a aucune limite alors qu’il s’essaye aux regrets tandis qu’il rappelle presque candidement qu’il oublia son porte feuille. Il ne s’agit-là que d’une faible tentative de passer pour le simple avare de la fable. Le lecteur attentif aura aisément reconnu que ce n’est pas la cupidité qui cerne notre ingénu compagnon mais bien la simple certitude toute urbaine que la monnaie ne s’est pas répandue au sud du péage de Saint-Arnoult et que seul le troc règne par delà les lumières de la capitale.
Avec le recul je n’ose imaginer ce qu’il prévoyait en contre-partie de ses bières… mais la vitesse à laquelle il les but pourrai facilement éclairer tout un chacun sur la question.
Ainsi donc, je fis face à toute la suffisance de mon invité de qualité capable qu’il l’a démontré ce soir-là de bêtement pomper des listes testées par d’autres sur l’Internet mondial.
Le détail de la partie ne satisfera malheureusement pas la curiosité des amateurs de jeu construit car les moments les plus mémorables ne se passèrent non pas dessus mais autour de la-dite table.
J’en veux pour exemple de délicieux instant juste avant que ne débute ce véritable viol en réunion (mon aimable opposant et ses figurines constituant non moins qu’une bande à part entière) où, les yeux pleins de larmes d’anticipation du plaisir qu’il s’apprêtait à prendre, l’infâme personnage se fendit d’une moue qui à elle seule servirait le scénario d’un épisode complet de Lie To Me. Je l’entendis donc prononcer ces quelques mots qui, en d’autres temps auraient suffit à déclencher des guerres : "Nan mais franchment là si tu veux je la chang’ ma list."
Le malandrin, en bon bourgeois, en avait déjà la bouche pleine…
Car c’est bien de cela qu’il s’agit : d’un malheureux homme des cavernes descendant une fois l’an de sa montagne pour accueillir le citoyen de la ville venu lui s’amuser de la présence d’autrui en des lieux exotiques de l’Empire Colonial Parisien.
Tout le reste ne serait que philosophie. Des détails futiles tels que les listes ou les résultats de dés ne serviraient pas le véritable propos du récit.
Dire que la liste fut pensée pour le fun ou pour changer des überKompoSdelaMorre serait accorder trop d’importance à une partie qui n’a de défaite que le nom. Ni le résultat abominablement surprenant des dés au moment le plus crucial. Ou bien encore le simple fait que la partie adverse s’employa à dresser des écrans de fumée se faisant prêter certaines figurines puis en fait non… Non, la véritable remarque à formuler tient en quelques mots simples : comment l’habile citadin n’a-t-il pas été en mesure de faire mieux que d’entraîner l’abandon de son adversaire à la fin du quatrième tour ?
Avait-il peur des prédateurs sauvages hantant ces contrées reculées et dont des souvenirs scolaires rappellent qu’elles s’activent à l’aube et au crépuscule… l’obligeant de fait à faire durer l’affrontement hobbyesque un minimum de temps mais cependant pas trop non plus ?
Quid du temps qu’il mit à répondre publiquement (avouant par là même son forfait) pour écrire avec peine et effort de maigres lignes sur le sujet sans rien en dire ?
Je ne sais quoi penser de tout cela mais je vous le dis, c’est bien grâce à Armada que nous ferons reculer l’obscurantisme urbain et que, comme de juste, c’est bien un représentant de la bordure extérieure qui enlèvera au nez et à la barbe de ces foutus habitants du Noyau le trophée convoité… et que nous autres passerons notre temps à leur faire croire que nous ne savons pas jouer afin que Mr G. remette les choses dans l’ordre.
Pleins de bisous à tous ainsi qu’à mon second Parisien préféré (qui je l'espère aura transmis ma petite attention à mon premier Parisien préféré).
hwk- Messages : 211
Date d'inscription : 23/03/2016
Localisation : 09
Re: Partie contre HWK
c'était ta partie d'armada annuelle HWK ?
alaric69- Messages : 2309
Date d'inscription : 19/07/2015
Localisation : LYON
Re: Partie contre HWK
J'ai bien ri.
Et je suis content d'avoir écrit "volubile" dans mon premier message !
Merci pour les bisous, je t'en envoie également (quoiqu'un peu pollués).
Et il me semble bien avoir transmis ce que tu sais à qui tu sais. Je devrais le voir demain (qui tu sais), je réitère dans le doute.
Et je suis content d'avoir écrit "volubile" dans mon premier message !
Merci pour les bisous, je t'en envoie également (quoiqu'un peu pollués).
Et il me semble bien avoir transmis ce que tu sais à qui tu sais. Je devrais le voir demain (qui tu sais), je réitère dans le doute.
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Minéralarimal- Admin
- Messages : 2199
Date d'inscription : 23/07/2016
Age : 52
Localisation : Paris 13
Re: Partie contre HWK
@alaric69 : je suis malheureusement esclave d'un planning difficile... :/
@Minéralarimal : c'est effectivement le mot "volubile" qui a tout déclenché :p
Au plaisir de vous croiser à nouveau tous les deux bande de gens !
@Minéralarimal : c'est effectivement le mot "volubile" qui a tout déclenché :p
Au plaisir de vous croiser à nouveau tous les deux bande de gens !
hwk- Messages : 211
Date d'inscription : 23/03/2016
Localisation : 09
Re: Partie contre HWK
C'était un fin massacre scribouillard, mettre au poteau un parisien n'est, ma foi, pas un spectacle si désagréable
Vous avez du bien rigoler à ce que j'en comprends.
Mesdames et messieurs du forum, j'organise une quête pour permettre à MinéralArimal d'arroser la cour paysanne lors de rencontres galactiques, qu'il puisse rincer la piétaille des contrées provinciales
Vous avez du bien rigoler à ce que j'en comprends.
Mesdames et messieurs du forum, j'organise une quête pour permettre à MinéralArimal d'arroser la cour paysanne lors de rencontres galactiques, qu'il puisse rincer la piétaille des contrées provinciales
FrStark- Messages : 2326
Date d'inscription : 08/01/2016
Localisation : 42-69
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